LELABOX

Etat d'esprit ...

 

 

 

(Une page qui apparait, disparait, sans explication)

 

 

 

 

16/01/2011  

On ne remonte pas parce qu'on a touché le fond.

On remonte en prenant conscience qu'il n'y a pas de fond. 

 

11/01/2011 

En perdition sans partitions, ni conditions. 

 

10/01/2011

- Alors... euh... la vie , c'est déjà du hasard ?

- Ben oui, du hasard qu'on arrange... un peu quoi !...

- Ah...

- Ouais, c'est ça. ! Si !  Si ! C'est bien. Fais pas cette tête.

 

09/01/2011

- Tu as compté ?

- Non.

 

 

06/01/2011

- S'égarer... sur le chemin de la liberté ?

- Et ces lueurs, étoiles terrestres, figures humaines.

- Elles apparaissent puis disparaissent...

- La nuit, la peur.

- Poursuivons !

 

 

28/12/2010 

- Sans peurs et sans reproches ? Non, non,  vous faites erreur, ce n'est pas moi...

 

 

 

21/12/2010

Il y a des hauts et débats.

Que vient faire la chance ?

La laisser au hasard.

 

 

19/12/2010   

L'horizon futur.

Lève ton bras, tends tes muscles jusqu'au bout des doigts en les écartant.

Tu sais maintenant, où que tu ailles, tu auras le choix.

 

 

18/12/2010

Le fruit de la vigne coulait des tonneaux, l'équipage tanguait en suivant le navire.

- A la tienne inconnu(e) ! déclara le capitaine.

- Taire ! Taire ! 

Le mouvement de la pensée s'arreta. La voix venait de l'extérieur.

- Celle qui nous porte ?...

 

 

16/12/2010

- J'ai jeté des bouteilles à la mer, même des containers.

- Et alors ?

- ... Rien.

-  Ah.../.../ OK...

- Tu me diras, c'est pas l'amer à boire...

- ...

- Non ?...

- Non. je ne te le dirai pas.

 

 

  1512 2010

- Elle est partie d'Anestesia... Pour nous rejoindre ?

- Oui. La tribu du bord du gouffre...

- Est-elle encore loin ?

- oui.

 

 

13/12/2010

 

- Non mais tu rêves là.
- Quoi je rêve ?!!!...
- Ben oui ! Tu idéalises.
- non non... non... je n'idéalise pas.
- Si ! Si !
/.../
- tu veux dire que les gens attendent la même chose ?
- Oui.
- Mais c'est impossible, on est trop différent.
- Je parle de ce qui leur convient.
- Ah ! Tu parles...

 

6/12/2010

Solitude nue,

Te caresser,

Te giffler,

Même inacessible...

 

29/11/2010

Se tromper, gâchis parmentier.

 

15/11/2010

Je continue, récolte de sons, de séquences, pour une cuisine expérimentale.

Le stop-motion,  essayer cette technique, bientôt.

Et re-caresser le papier,  la couleur, la matière ?...

 

19/09/2010 

Sublimer tout cela va falloir...

 

 

3/09/2010 

On ne prend pas son pied pour le mesurer.

 

 

3/09/2010 

Dire/ride

slave/valse

vase/save

/.../

stop/past

Rien ne dure.

 

 

31/08/2010

Actualités: Totalement à côté de mes pompes. Enfin pas tant que ça... J'ai leur âge : 41,5.

 

23/08/2010

Impasse temps de la scène obscure.

 

19/08/2010

Se faire:

un film,

avoir,

prendre,

mal,

plaisir,

des idées,

une raison ?

Ne pas s'en faire.

 

 

18/08/2010

A qui l'on pense ? A qui l'on manque ?  A quel moments ? Qui  nous manque ? Qui n'est plus là après avoir été ?

Qui attendre ? Quoi ?

Pourquoi seul(e) rester ?... Par choix ? pou par absence de choix ?

Est-ce la peur de déranger, de n'être pas "Bienvenu(e)", d'une distance trop grande, qui nous paralyse dans le "Je" ? Est-ce un égo rembourré réfractaire à tout ce qui résonne avec l'idée de liens, de dépendance , des peurs incontrôlées ? un contexte  géographique de faible densité humaine,  ou l'inverse ? Une auto-satisfaction stimulée par une activité passionnante, un travail, un rôle, une utilité ?

Est-ce un refus de souffrir, catégorique, un espoir de trouver mieux parce que forcément, il y a toujours mieux. Est-ce une timidité excessive, un pessismisme costaud, une lucidité redoutable sur notre réalité,  sur notre "chiantise"  et nos mécanismes obscurs ?

Est-ce la certitude qu'une chose brisée ne peut plus servir ? Est-ce  la propagande, le matraquage publicitaire d'un miraculeux hasard d'une rencontre internet, du bonheur en quelques clics...

Se faire une raison, en mélangeant ses larmes et le reste des rêves d'avant ? S'entourer des autres, tisser des liens,  agrandir le cercle, s'enfermer, boire et se laisser glisser ?  Sourire à l'envie de ceux qui manque de temps ?  Le temps est précieux, mais ce n'est pas affaire de quantité.  Le temps ouvre un abîme, et ce n'est pas une consommation de marchandise qui peut le combler.

Regarder  l'écran télé, ranger, travailler, manger, dormir, s'occuper de son  chat, de son chien, de ses plantes, ritualiser son quotidien, s'arranger... Je l'entends, le vois parfois, j'y viendrai peut-être, l'avenir est coquin.

En attendant, c'est du live, du décousu,  qui s'arrange quand Papa je suis par alternance. Qu'est-ce donc que de ne pas l'être ?  La vie m'a dépassé, elle continue.

S'occuper de son corps, le voir vieillir, en être effrayé(e) ? Gérer, rentabiliser, épargner, tout faire pour être normal(e), ou éviter ce qui semble ne pas l'être, pour se demander: c'est quoi être normal(e) ? Se demander encore si c'est normal de se le demander, ne pas choquer, rester invisible tout en voulant la gloire, fuir, se débattre, dériver, se battre, en vouloir au monde entier, se méfier, aimer les gens, dire de bonnes paroles, s'astreindre, se lâcher, se retenir,  être furieux, insulter l'autre, rechercher les signes extérieurs de richesse, paraître, donner, se taire, être ou avoir, lire, dire, il y a de la place pour  tout et pour tous.

Quelle place ?

La votre, la mienne.

Partage du vide.

 

 

17/08/2010

Nuits brulées

craquements du ciel

et ces brindilles d'azur

pour un radeau de pacotille.

 

 

07/08/2010

L'eau coule sous les ponts, voir

Le vain, dans le verre.

 

 

07/08/2010

Egaré(e) ? Par intermitence, très solide à d'autres moments. Je crois que cela est  humain, une vieille histoire où nous figurons tous, jeux drôles...

 

 

06/08/2010

Fragilité, complexité.

Tout et son contraire.

Haut les coeurs!.

Aujourd'hui n'est pas hier.

 

 

05/08/2010

Pause.

Apprentissage de la liberté. Ne rien attendre, n'être pas attendu. Arriver à goûter cela, et c'est bien.

Quelques creux, quelques bosses, passer en équilibre.

S'aimer tel que l'on est, on l'entend souvent ce conseil. Je n'ai pas jusqu'ici cherché à être heureux seul, c'est difficile à comprendre, ce n'était pas un choix délibéré. probablement  "en chute" vers l'autre, cet autre qui ne pouvait pas, ne savait pas, ou ne voulait pas de mon désastre. Quoi qu'il en soit je caresse l'idée d'un bonheur solitaire plus autonome. Je m'étonne à écrire cela, sous réserve. Cela me parait essentiel pour rester sur scène.

Trouver sa place, c'est peut-être accepter son corps là où il se trouve. 

 

01/08/2010

Mo(r)tel, petit déj' offert, suivre la route, encore...

 

01/08/2010

Beaucoup de choses se perdent...

Certains plongent dans le vide pour les rattrapper.

Chasser la fuite, la suivre sans fuir.

Debout, entier.

Ridicule, peur, honte ?... Peaux mortes!.

Elle est belle ta cicatrice.

 

30.07.2010

C'est la disparition de l'illusion qui la révèle (en tant que telle), mais ce qu'il reste alors, est-ce le réel ? Dans les deux cas, le sentiment d'une réalité vrai, en nomade essentiellement primaire, s'adapte et survit. La perception du réel devient notre réalité. Mais nos réalités même communes sont parfois déjouées par ce fameux réel. L'objectivité n'est donc. pas évidente... Suivre son corps, le contraindre à nous suivre, le perdre ? Pour ma part, je tente de l'habiter, d'en jouir, de son utilité, à son mystère, De son écoute, à son usage. Ceuillette. Processus en cours, work in progress, épreuve de l'imparfait, passage.

A croire que nous n'avons qu'une seule chose à vivre: l'impossible.

 

 

Toutes ces solitudes qui rêvent d'un "Nous" complémentaire et harmonieux...

Le bonheur serait-il la plus grosse blague de l'humanité ?

L'espoir fait rire.

Je fais avec...

Voir ce que je touche, sentir ce qui m'attire.

Brut, présent, et grandir encore:

Alpinisme du quotidien.

 

 

09.07.2010

Se sentir Homme, dans toute sa faiblesse, sa banalité,

Il y a bien ce mystérieux espoir, d'une intervention extérieure,

mais la journée se termine et c'est un vide triomphant

qui l'emporte.

 

 

01.07.2010

Abuser d'une prude romantique dans toutes les pièces de la maison,

basculement,

silence.

Je ne suis pas raisonnable.

Attendre, est-ce plus raisonnable ?

Sois adulte mon enfant !

Quoi ? Qui ?

Magnétisme de la norme, peu m'importe l'énorme,

à perte de vue,

le présent du présent.

 

 

 

30.06.2010 

Parfois je me repose,

parfois aussi, je repose tel une chose parmi les choses.

C'est une présence sans preuve, ce désir de se poser.

Je sens intuitivement la fatigue de la course former un creux.

Je reconnais le manque.

D'où surgira t-elle ?

Plénitude, satiété, sémantique du bonheur ?

Passage du réel.

Crise, sabotage. Mutisme.

Et.

Gémir allongé, incontinent de peine.

Pourtant, reste le goût, l'envie de vivre,

Ce "oui" à ce qui advient, encore lointain,

inconnu.

Nager, ou se laisser dériver.

Inutile de chercher le fond,

il n'y a pas de fond.

 

 

24.06.2010

 "Haut les cœurs"

Vivons heureux, vivons cachés. L'idée me plaisait, mais le risque  sensible d'une attente invisible soldée par une solitude qui s'affiche pose question. Je pose tjrs des questions. M'abstenir, je ne peux... 

 

 

23.06.2010

Pourquoi célibat taire ?

C'est dit, gérer est une autre affaire.

 

 

21.06.2010

Paroxysme, jusqu'à l'explosion.

L'art...  La vie... Le plaisir, la douleur, choisir, subir, soumettre,  mettre en forme, en mots, en couleurs...

Colonne vertébrale qui va mal, corps fragile, vie ténue.

 

 

12.06.2010

Vieillir.

Corps qui s'use, souffle qui peine.

Trajectoires entremélées.

Ne rien attendre, ligne d'horizon inaccessible.

Silence.

Retour au vide sous les ruines.

 

 

07.06.2010

Pas copain avec les maths, retour en sixième via F, galère...  J'apporte d'autres choses que les fractions... On se rassure comme on peut. Nature proche, vie rurale, une autre planète*, que j'apprivoise et qui m'apaise bien plus  que tout autre chose. J'exagère un peu. Quoique ce qui m'apaise relève encore de la nature, si humaine soit-elle.

 

*la ville est  aussi une planète.

 

 

31.05.2010

Troubles...

 

 

28.05.2010

Cette curiosté me porte à lire une envie d'infini ici, une envie d'ailleurs là, de chocolat  de sexe là-bas, ou de tendresse ici, d'un tout, qui mélange le meilleur du connu et du fantasmé, désirs qui prennent forme du chuchotement au cri animal. Observation du monde... virtuel/réel... Ma préférence va au réel.

Retour à la maison, face à soi-même. Faire son ménage à 21h, écouter du rock des années 70, penser qu'il est inutile de tenter de ne plus penser, tester le  le rouge et le rosé dans le même verre. Faire le point sans le lever. Laisser les souvenirs virevolter, Que deviennent ...,  dans l'alphabet du temps, l'échelle du plaisir, l'horloge des sentiments...

Pourquoi ce désir de plaire ? Ces avatars qui prolifèrent, ce matraquage du bonheur à cliquer ? Que serions-nous chacun, au moyen-age, qui sommes-nous, sans masques ? 

Obscur dérisoire, impasse.

 

 

25.05.2010

Humains , si étranges...

Blessé, en colère ? Je ne fais pas exception.

Mourir lentement, avec plaisir, un peu tous les jours.

 

17.05.2010

Froid...passager, défilé d'écrans, que de changements depuis Internet...Ces commentaires par millions, ces dizaines,  centaines d'amis de réseaux, coucou ! j'existe et bisous... Effet de groupe, insupportable silence, manque affectif, rêve d'amour-loto, du numéro gagnant, jonglerie de la chance, jouer. Atttentes, projections. Chacun soigne ses avatars, nourrit sa curiosité des autres, s'attarde, surveille, s'exhibe, se laisse porter par des rêves légitimes ou pas, se laisse emporter par une folie douce du cocon virtuel, privé-public s'enlacent, les murs grandissent de sécrétions, qui recouvrentt plus ou moins une solitude, un vide, une tristesse polymorphe. Comment passer le temps ? Comment ne pas douter de l' envers du décor ? Se rassurer ? Une dépendance en vaut une autre.

Se mettre au travail.  Petit branleur.

 

 

12.05.2010

La créativité des autres m'impressionne. Oisif pensif je regarde, me laisse  charmer, collectionne des liens sans entretenir de liens. Je n'ai jamais été performant dans la relation aux autres. Je ne suis pas très social... Certes, ma vie d'ours de campagne n'est  pas un contexte très fertile  pour rencontrer l'autre, mais à cela s'ajoute mon "retrait" volontaire. Vie d'intérieur et de jardin. D'un autre côté, il y aura des rencontres, imprévues, la vie est surprenante. 

Profiter de ce temps... de cette chance d'avoir du temps, grandir tous les jours, voir  grandir aussi, ce petit homme qui m'interpelle "hein 'pa !"

Acheté aquarelles et feutres, pas encore déballés. il y a de quoi faire dans l'atelier, il ya de quoi...manque un "je ne sais quoi".

Chance aussi de cette année, 2 jours de travail alimentaire bien plus agréables que les années précédentes, suffisants pour vivre ici, alors...

Sourire garder, oui.

 

 

05.05.2010

Relativiser, j'ai fini par toucher terre, quelques pièces d'essais en argile et allumettes. D'autres envies d'expériences autour de l'image. Rester concentré. Ne plus se débattre en cas de chute. Un malaise effervescent se dissous dans le calme.

Cigarettes et ballon rouge, que dire...

Ecouter de la musique, résoudre les problèmes informatiques, se demander pourquoi je n'écris plus.

 

 

17.03.2010

C'est bien un blog et non un site internet, structurellement et dans ce contenu présent, ici... Poser des billets à la dérive.
Solitude n'arrive plus à être fertile, solitude se nourrit  d'apports extérieurs, d'images, de sons, de pensées. Etat d'esprit, oui, mais qui n'aboutit pas à un état des choses. Juste ce filament d'écriture, miroir me fait tourner la tête. Tremblements sourds d'un pour qui, pour quoi, sans doute à l'origine du casse-tête chinois...D
ésinvolte et un peu désabusé je reste inachevé.

 

15.03.2010

Artiste en résidence...chez moi.

 

10.03.2010

S'ajuster...dans la démesure du possible.

 

09.03.2010

Une liberté personnalisable... S'ajuster...

 

04.03.2010

La question devient: pourquoi tant de questions ?

 

21.02.2010

Amplitude...Où est-tu ?

 

 

02.02.2010

La capture de l'idée doit se faire rapidement, sinon, elle circule et s'éloigne vite. Donc, avoir à portée de main un outil et un support. 

Un des effets de la nouvelle ère numérique pourrait être la substitution de la parole directe, par la trace désincarnée de son passage sur un écran, une accumulation et à la fois une dématérialisation. Une stratification du passé qui demeure, alors qu'elle devrait être effacé. Les commentaires s'entassent, les échanges sont offerts à la vue de tous. Une machine, un humain, pour faire un terrible raccourçi... La machine et sa mémoire demeurent...  Ma génération aura connu avant et après internet, c'est encore les débuts, les prémices d'une méta-pensée (?) d'une hybridation machine/humain, d'un truc qu'on imagine même pas, qui me laisse perplexe... On court après la SF. D'un côté on entend parler des autoroutes de l'information et de l'autre se multiplient les territorialisations, les galaxies de blogs, les réseaux dits "sociaux", les interfaces de tchat et autres messageries instantannées. Tout cela "trans-portable" via les nouveaux téléphones, mais le téléphone ... c'est un truc préhistorique aujourd'hui. Profil, GPS, virtualité intégrée via des avatars, on est au début. En attentant, l'impact de mobilisations potentielles est directement réduit par la disparité des zones virtuelles. Une pan-virtualité serait une menace importante pour les pouvoirs" politiques", économiques et psychologiques. Je n'ose imaginer l'envoi de message à la totalité de l'humanité. D'un autre côté, le média global fait peur. 

Le sucré, le secret aussi (?) de ces phénomènes se situent dans la présentation et dans la re-présentation. Présentés comme espace de liberté, d'expression,de lien social, ils s'immiscent insidieusement dans les comportements et déplacent le curseur complexe de la normalité du côté de leurs utilisateurs, ils représentent aussi graphiquement, sur un écran,  un petit espace libre encadré d'autres espaces qui eux sont interdits. La plupart des gens ne savent pas construire un site internet, moi le premier,  une immense majorité se retrouve dépendante des réseaux qu'elle rejoint.

L'outil, qu'il se nomme facebook, twitter ou messenger, est sous contrôle de ceux qui le proposent, souvent gratuitement dans une première période puis moyennant finance dans un second temps, quand la quantité d' usagers est atteinte, déduite de la perte des réfractaires. Peu d'utilisateurs ont conscience qu'un simple stylo et une feuille de papier sont encore puissants pour la raison simple, qu'ils sont autonomes. Pour dire quoi  ? C'est une bonne question, merci. 

En fait, je me suis désinscrit de facebook,  quelques jours ont suffit... Je supporte mal les relations virtuelles. je n'arrive pas a être léger. C'est un peu génant parfois.
Ecrire ici, c'est un peu comme monter sur une colline, s'appuyer contre un arbre et parler dans le vide...

 

18.01.2010

Adaptation en cours, soutien de l'amitié dans les passages "down", agir tant qu'il est temps, tout file aux oubliettes...

 

05.01.2010
Question de place (suite). L'Autre peut nous laisser une place, mais elle disparaitra, s'il disparait.

Je confirme la difficulté, trouver  sa place... S'exister...

Etre artiste est-il l'équivalent d'être un artiste ?

Etre ou devenir artiste ?

Et doit-il se soucier de sa postérité ?

 

30.11.2009
Paradoxe du désir de tranquilité et du risque d'isolement.
Trouver sa place en soi, donc...  
Gagner sa vie...Mais je l'ai déjà...On me l'a donné.

 

PROFESSEUR, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1337 «celui qui enseigne (un art, une science)». Empr. au lat. professor «celui qui se déclare expert dans un art ou une science» d'où «professeur de, maître de», v. professer.
Papa poule... Artiste , professeur contractuel ... Je sais bien, on fait comme on peut...

Etreintes douloureuses et parfois paralysantes, sans doute quelque peu ridicules, au regard de la vie des autres. Le  pire n'est jamais loin.
Mais l'avis des autres...
Me suis mis en quarantaine, c'est  l'époque...

 

27.11.2009

Obsolescence de ces traces, ici.
Ou ailleurs...
Période de transition.

 


 

 

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